Famille de Carné

Extrait

Chevaliers de Saint-Michel

Jérome de Carné, sire de Carné, seigneur de Cohignac, de Coëtcanton, de la Salle, de Crémeur, de Marcein, de Liniac, de la Touche, etc., maitre d’hôtel héréditaire et vice-amiral de Bretagne, gentilhomme ordinaire de la chambre du roy, conseiller en son Conseil Privé, gouverneur de Brest et de Guerrande, et commandant la noblesse du ban et arrière ban de l’évêché de Vannes, fut nommé chevalier de l’ordre de Saint-Michel le 18 février 1568 et en reçut le collier des mains du vicomte de Martigues, chevalier dudit ordre [(Mémoires pour servir à l’histoire de Bretagne par dom Morice, Paris, 1476, page 1357)]. Il étoit né en 1511 et se distingua dans les guerres de son temps. Le roy Charles IX luy accorda le 7 octobre 1570 une gratification de 12000 livres en considération « des grands, agréables et recommendables services qu’il luy avoit par cy devant et dez longtemps faicts et çà ses prédécesseurs roys au fait des guerres et tant deça que delà les monts, et encore tant récemment à la garde et conservation de Brest en son obéissance ». Il reçut un grand nombre de lettres du roy Charles IX, de la reine Catherine et du duc d’Anjou depuis roy Henry III remplies de témoignages d’estime, et mourut en 1580. [Il étoit fils de Marc, sire de Carné, chevalier, vice amiral, grand veneur, grand maître des Eaux et Fôrets et maitre d’hotel héréditaire de Bretagne, premier pannetier de la reine, gouverneur de Guérande et de Brest, et de Gillette de Rohan. Ses armes d’or à deux fasces de gueules.]

Jérôme de Carné épousa en juin 1530 Adelice de Kerloaguen, fille de Julien et de Gillette d’Acigné, seigneur et dame de Rosampoul, de Gaspern, de Kemperguéhennec, de Coëtcanton, etc. Un double mariage unit les deux familles ; en effet le père de Jérôme, Marc de Carné, veuf de Gillette de Rohan, épousa vers la même époque Gillette d’Acigné, mère d’Adelice, et veuve de Julien de Kerloaguen. Jérôme de Camé repoussa en 1558, une attaque des Anglais contre la ville de Brest. En 1576 il était lieutenant général du roi au gouvernement de Bretagne, d’après un acte de cette année rappelé par Dom Morice dans un recueil écrit de sa main à la Bibliothèque Nationale (Français 11549).

René, sire de Carné, vicomte de Cohignac, seigneur de Crémeur, de Marcein, de la Touche, de la Salle, de Kerfiles, de Kerbastar, de Kermelec, de Liniac, de Penhoët, de Coëtcanton, de Rosempoul, du Gaspern, etc., maitre d’hôtel héréditaire de Bretagne, gentilhomme ordinaire de la chambre du roy et capitaine de cent hommes d’armes de ses ordonnances, fut admis dans l’ordre de Saint-Michel vers le règne d’Henry III et on le trouve qualifié chevalier de l’ordre du roy dans une généalogie de cette maison dressée sur titres il y a environ 150 ans [(manuscrit du juge d’armes de France sur cette maison)]. Il fut aussi gouverneur de Brest et de Guerrande après Jérome de Carné son père. [Il étoit fils de Jérôme, sire de Carné, chevalier de l’ordre du roy, et d’Adelise de Kerloaguen. Ses armes comme cy devant.]

René de Camé épousa par contrat du 7 juin 1565 et avec dispenses, parce qu’il en était parent au quatrième degré, Anne de Rieux, fille de François, sire d’Assérac, et de Renée de la Feillée. Il mourut peu de temps après son père. C’est à tort que M. Le Bastard de Mesmeur (Histoire des guerres de la Ligue, par le chanoine Moreau) a vu en lui le seigneur de Cremeur qui fut tué en 1590 dans la défaite de l’arrière-ban de Cornouailles. Ce seigneur de Cremeur était un frère de René, Christophe de Carné, abbé commendataire de Relec, prieur des Montagnes, troisième fils des onze enfants de Jérôme. Cremeur, Rusquec, son beau-frère, et Kerrorn « firent tous devoir de gens d’honneur tant qu’ils purent manier des mains ; ils y furent tués en bien faisant.... » (Moreau).

François de Carné, seigneur de Rosempoul, de la Salle et de la Touche, lieutenant de roy à Brest [par lettres du roy Henry III du 30 novembre 1575 en survivance de son père après la mort duquel en 1580 il fut pourvu de cette charge], fut admis dans l’ordre de Saint-Michel vers le règne d’Henry III, et on le trouve qualifié chevalier de l’ordre du roy dans deux notes des 14 février 1590 [(titres de cette maison)] et 27 may 1616. Il s’attacha depuis au party des princes de l’Union qui l’etablirent maréchal de camp de leur armée et le firent mestre de camp d’un régiment de mil fantassins, capitaine d’une compagnie de gendarmes et gouverneur de Morlaix où il soutint en 1594 un siège mémorable contre l’armée royalle commandée par le maréchal d’Aumont. Il se soumit depuis au roy Henry IV, [ce monarque l’invita le 5 août 1608 de se trouver aux États de Bretagne] et mourut en 1628. [Il étoit fils de Jérôme, sire de Carné, chevalier de l’ordre du roy, et d’Adelise de Kerloaguen de Rosempoul. Ses armes comme cy devant.]

François de Carné avait embrassé le parti de l’Union « pour ne pas tomber, disait-il, sous la domination de l’hérésie ». Il assista au siège du Pont-l’Abbé et à celui de Kerouzeré, en 1590, où il reçut un coup de fourche dans la gorge pour avoir voulu préserver Coëtnizan et ses compagnons de la fureur des paysans. M. Le Men, dans un article sur la Capitulation de Kerouseré publié en 1873 par le journal le Finistère, a contesté le récit du chanoine Moreau sur la blessure de François de Carné et, d’une manière plus générale, sur les efforts faits par les chefs ligueurs pour arracher les royalistes des mains de la populace. Mais une lettre écrite par le duc de Mercœur à François de Carné, le 27 mai 1590, en établissant la réalité de la blessure, vient confirmer la sincérité des efforts accomplis par les chefs de la Ligue pour sauver les royaux. « Je suis bien marri, écrit le duc, de l’accident qui vous arriva devant Kerouzéré et demeure joyeux de ce que Dieu vous en a préservé... » (Dom Morice, III, col. 1513). Ce ne fut pas la seule circonstance où Rosampoul eut à lutter contre les paysans rendus furieux. Pendant cette même année 1590, dans l’incendie du manoir de Roscanou, il réussit à soustraire la jeune dame de Kerlech aux dangers qui la menaçaient : mais il y pensa « perdre la vie. » Le 10 avril 1591, les États ligueurs de Nantes le députèrent, avec les seigneur d’Orvault, d’Olivet et de la Roberie, pour demander aux États généraux que « l’édict d’Union soit entretenu comme loy fondamentale du Royaume, l’Église catholique, apostolique et romaine maintenue, etc... » (dossiers de M. Anatole de Barthélémy sur la Ligue en Bretagne). Le siège de Morlaix qu’il soutint en 1594 avec 500 soldats et 60 gentilshommes contre les 3000 hommes du maréchal d’Aumont est très connu, et nous n’avons pas à y revenir. Renée de Catelan sa femme, qui pendant les 24 jours du siège « se montra si résolue....... dit le chanoine Moreau, qu’elle plantait le cœur au ventre du plus lâche », était fille de Jean de Catelan et d’Anne du Bois-Brassu.

Jean de Carné, sire et baron de Carné, de Blaizon et de Chemilières, vicomte de Cohignac, seigneur de Crémeur, de Marcein, de Rosampoul, du Gaspern, de la Salle, de la Touche et de Coëtcanton, maitre d’hôtel héréditaire de Bretagne, gentilhomme ordinaire de la chambre du roy, gouverneur de Brest, de Guerrande et de Quimper-Corentin, admis dans l’ordre de Saint-Michel vers le règne d’Henry IV, est qualifié par ce prince du titre de chevalier de son ordre dans ses provisions de gouverneur de Quimper-Corentin du 12 février 1610, et on luy trouve encor la qualité de chevalier de l’ordre du roy dans un acte du 22 janvier 1620. Il se trouva en 1587 à la défaire des reitres à Auneau, et est qualifié capitaine de cent hommes d’armes sous l’obéissance de messeigneurs les princes de l’Union dans un titre du 14 fevrier 1590. Depuis il servit fidellement le roy Henry IV [pendant les guerres de la Ligue] qui le combla d’honneurs et luy accorda une pension de 3000 livres [en considération de ses services]. Il mourut à son château de Coëtcanton en 1632. [Il étoit fils de René, sire de Carné, chevalier de l’ordre du roy, et d’Anne de Rieux d’Acérac. Ses armes comme cy devant.]

Jean de Carné « n’était encore âgé que de seize ans lorsqu’il endossa la cuirasse et accompagna ses oncles à la défaite des Reîtres à Auneau en 1586 ». Pendant les guerres de la Ligue, il eut part à la première prise de Tréguier ; et fut fait prisonnier par les royalistes, à une date qui ne nous est pas connue, mais qui se place entre le 4 mai 1590 et le 3 janvier 1592. Le 1er juillet de cette dernière année, il était libre ; et l’on sait que Pierre de Boiséon, pour recouvrer la liberté, avait été contraint de payer sa rançon qui se montait à 4.000 écus. Il avait épousé 1o le 14 février 1590 Françoise de Goulaines, fille de Claude de Goulaines, chevalier de l’ordre du roi, et de sa seconde femme Jeanne Pinart, dame de la Noë-Verte, 2o avant 1618, Anne de Coatanezre, petite-nièce et héritière de Troilus du Mescouez, chevalier de l'ordre du roi, veuve de Charles de Kernezne, vicomte du Curru, et fille de Vincent de Coatanezre, seigneur de Pratmaria, et d’Anne du Mescouez. Jean de Carné reçut du roi Louis XIII la lettre suivante, en date du 13 juin 1620, qui n’a pas encore été publiée : « M. de Carné, je vous escris ceste lettre, pour vous faire paroistre la souvenance que j’ay de vous et l’estat que je fais de votre fidélité et affection à mon service, et parce qu’elle vous sera rendue par le sieur du Bois de Quergrois à qui je remets de vous faire entendre mes intentions, je n’y adjousteray autre chose, sinon que vous ayez créance en ce qu’il vous dira de ma part. Priant Dieu qu’il vous ayt, M. de Carné, en sa sainte garde. Escrit à Paris le 13 juin 1620. Louis » (Blancs-Manteaux, original, Français 22343).

Charles de Carné, vicomte de Cohignac, gentilhomme ordinaire de la Chambre du roy, admis dans l’ordre de Saint-Michel vers le règne de Louis XIII, est qualifié chevalier de l’ordre du roy dans plusieurs actes des 22 janvier 1620 [(titres de cette maison)], 6 avril 1632 et 5 février 1651. [Il vivoit encor en 1651. Il étoit fils de Jean, sire et baron de Carné, chevalier de l’ordre du roy, et de Françoise de Goulaines. Ses armes comme cy devant.]

Charles de Carné épousa Françoise Le Barbier, dame de Trousilit, fille de Jean et de Renée de Kerouartz. Devenue veuve, Françoise Le Barbier se remaria à Guillaume de Poulpiquet, chevalier de l'ordre du roi.

Jean, baron de Carné et de Blaizon, vicomte de Cohignac et de Thémilières, seigneur de Coëtcanton, de Trévalot, de Marcein et du Plessis de Mareil, gentilhomme ordinaire de la chambre du roy et gouverneur de Quimper-Corentin par provisions du 18 janvier 1632, avoit été élevé page de la chambre du roy Louis XIII et ce monarque l’admis dans l’ordre de Saint-Michel, on le trouve rappelé avec la qualité de chevalier de l’ordre du roy dans un acte du 25 janvier 1645 [(titres de messieurs de Kerlean)] postérieur à sa mort arrivée dès l’an 1634. [Il étoit fils de Jean, baron de Carné, chevalier de l’ordre du roy, et de Françoise de Goulaines. Ses armes comme cy devant.]

Jean de Carné épousa en 1614 Françoise de Kernezne, sœur de Charles de Kernezne, chevalier de l’ordre du roi, et fille de Charles, vicomte du Curru, et d’Anne de Coatanezre remariée, comme nous l’avons dit, au père de son gendre. L’acte du 25 janvier 1645 cité par d’Hozier est le contrat du mariage de Françoise de Carné, sœur de Jean, avec Vincent de Kerléan, seigneur de Coatmanach et de Querhuon.

René, comte de Carné, vicomte de Cohignac et de Trévalot, seigneur de Marcein et du Plessis de Mareil, gentilhomme ordinaire de la chambre du roy, né en 1619, fut admis dans l’ordre de Saint-Michel au commencement du règne de Louis XIV. On le présume en …[1] à la mort de Louis XIII de 1643, il n’avoit encor que 24 ans, et qu’on luy trouve déjà la qualité de chevalier de l’ordre du roy dans son contrat de mariage du 25 avril 1645 [(titres de cette maison)]. Voici ce qu’on lit à son sujet dans un mémoire généalogique de sa maison fait de son temps « ceux (dit l’auteur de ce memoire) qui connoissent sa personne, ses mœurs et ses mérites, avouent qu’il est l’un des seigneurs de Bretagne le plus accomply, et qui a la plus belle et heureuse naissance, étant particulièrement doué d’une adresse admirable, d’un courage extraordinaire avec une modestie singulière qui le font aimer avec passion de tous ceux qui ont sa conversation. M. le maréchal de la Meilleraye qui l’a en haute estime luy a procuré son mariage en 1645 avec Susanne Loisel etc. ». [Il étoit fils de Jean, baron de Carné, chevalier de l’ordre du roy, et de Françoise de Kernesné. Ses armes comme cy devant.]

Le mémoire généalogique cité par d’Hozier dans cette notice fait partie du Cabinet des Titres à la Bibliothèque Nationale ; et nous avons quelques raisons de supposer qu’il fut composé par Gui Autret de Missirien. L’écriture qui est cependant plus régulière, parce que le travail était définitif, présente beaucoup d’analogies avec celle du mémoire écrit par cet auteur sur la famille de Plusquellec, qui semble n’avoir été qu’une série de notes préparatoires jetées en désordre et inachevées. Suzanne Loysel, femme de René de Carné, fille d’Isaac, chevalier de l'ordre du roi, et de Catherine Faucon, était veuve de Philippe de Chasteaubriant, comte des Roches-Baritaut, tué à Lérida en 1642. Après la mort de René de Carné, elle épousa en troisièmes noces Amaury-Charles de la Moussaye.

Jean-Urbain de Carné, comte de Carné, baron de Marsaint, vicomte de Cohignac et de Saint-Nazaire, capitaine de la noblesse de l’évêché de Vannes, est qualifié chevalier de l’ordre du roi dans l’acte de baptême de Jean-Urbain de Carné, fils de son cousin germain, Jean de Carné, baron de Bléhéban, chevalier de l'ordre du roi, et de Perrine Le Gall, dont il fut parrain le 34 juin 1653 en l’église paroissiale de Caden. On trouve encore son nom suivi de la même qualification dans un acte postérieur à la réforme de l’ordre par Louis XIV en 1665. Nous voulons parler de l’acte d’inhumation de son fils, Louis-François, qui mourut en la ville de Vannes à l’age de 8 ans, et dont le corps fut enseveli le 3 septembre 1668 en la chapelle de Saint-Marc, près du château de Cohignac, dans l’enfeu ordinaire des seigneurs de Carné (Archives du Morbihan). Jean-Urbain était fils de Jean, baron de Carné et de Blaison, chevalier de l'ordre du roy, et de Françoise de Kernezne ; il était devenu chef de nom et d’armes par la mort sans enfants de son frère René, chevalier de l’ordre. Il avait épousé en février 1650 Claude Le Nobletz, fille de Jean, seigneur de Kerodern, et de Marie de Kergadiou, et proche parente du saint prêtre et missionnaire breton, Michel Le Nobletz.

Jean de Carné, baron de Bléhéban, seigneur de Trévy, la Villealy, Boisdeligan, la Grée, le Halgoët, Tremoyan, etc., est qualifié chevalier des ordres du roy (chevalier de l’ordre du roi) dans son testament daté du 12 novembre 1656 et passé au château de Bléhéban, par Thaumour et Noël, notaires de la juridiction de Bléhéban (Archives du Morbihan, B 21). Il était fils de René de Carné, baron de Cremeur, et de Julienne de Corno, dame de Tremelgon, et petit-fils de Jean, chevalier de l'ordre du roi, gouverneur de Quimper, et de Françoise de Goulaine. Il épousa Perrine Le Gall, d’une famille originaire de l’évêché de Vannes, qui portait pour armes : d’argent au lion de gueules, armé et lampassé d’or, chargé de deux fasces de même ; et il en eut plus de douze enfants.

Notes

  1. Nous n’avons pu lire ce mot, qui ressemble à uque.
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Réformation de la noblesse (1668-1671)

Evènements (13 notices)

  • Comparution : (1 notice). Pour Gilles de Carné, sieur de Blehebau.
    • Bibliothèque de Rennes Métropole, Ms 510-515, Ms510, folio 99v.
  • Comparution : jeudi 27 septembre 1668 (1 notice). Pour les enfants de Joseph de Carné
    • Bibliothèque de Rennes Métropole, Ms 510-515, Ms 512, fol. 70v.
  • Comparution : mercredi 17 octobre 1668 (1 notice). Pour Jean-Urbain de Carné.
    • Bibliothèque de Rennes Métropole, Ms 510-515, Ms510, folios 97v-98v.
  • Arrêt de maintenue en la Chambre : lundi 26 novembre 1668 (3 notices). Pour Jean-Urbain de Carné.
    • Archives départementales du Morbihan, 1 J 1003, "Livre du Botcol", p. 67.
    • Archives départementales du Finistère, 32 J 2, "Livre de Kerézellec", p. 15.
    • Bibliothèque de Rennes Métropole, Ms 510-515, Ms510, folios 97v-98v.
  • Comparution : vendredi 4 janvier 1669 (1 notice). Pour Laurent de Carné.
    • Bibliothèque de Rennes Métropole, Ms 510-515, Ms510, folios 98v-99v.
  • Arrêt de maintenue en la Chambre : lundi 14 janvier 1669 (1 notice). Pour Laurent de Carné.
    • Archives départementales du Morbihan, 1 J 1003, "Livre du Botcol", p. 114.
  • Comparution : mardi 26 février 1669 (1 notice). Pour Guy de Carné, sieur de Tromy.
    • Bibliothèque de Rennes Métropole, Ms 510-515, Ms510, folio 100.
  • Arrêt de maintenue en la Chambre : mercredi 20 mars 1669 (3 notices). Pour Gilles de Carné, sieur de Blehebau.
    • Archives départementales du Morbihan, 1 J 1003, "Livre du Botcol", p. 172.
    • Archives départementales du Finistère, 32 J 2, "Livre de Kerézellec", p. 15.
    • Bibliothèque de Rennes Métropole, Ms 510-515, Ms510, folio 99v.
  • Arrêt de maintenue en la Chambre : mardi 30 avril 1669 (3 notices). Pour Pour Guy de Carné, sieur de Tromy.
    • Archives départementales du Morbihan, 1 J 1003, "Livre du Botcol", p. 227.
    • Archives départementales du Finistère, 32 J 2, "Livre de Kerézellec", p. 15.
    • Bibliothèque de Rennes Métropole, Ms 510-515, Ms510, folio 100.
  • Comparution : lundi 17 juin 1669 (1 notice). Pour Philibert de Carné et autres
    • Bibliothèque de Rennes Métropole, Ms 510-515, Ms 512, fol. 70v-71v.
  • Arrêt de maintenue en la Chambre : lundi 1 juillet 1669 (3 notices).
    • Archives départementales du Morbihan, 1 J 1003, "Livre du Botcol", p. 324.
    • Archives départementales du Finistère, 32 J 2, "Livre de Kerézellec", p. 15.
    • Bibliothèque de Rennes Métropole, Ms 510-515, Ms 512, fol. 70v-71v.
  • Arrêt de maintenue en la Chambre : vendredi 16 août 1669 (3 notices).
    • Archives départementales du Morbihan, 1 J 1003, "Livre du Botcol", p. 394.
    • Archives départementales du Finistère, 32 J 2, "Livre de Kerézellec", p. 15.
    • Bibliothèque de Rennes Métropole, Ms 510-515, Ms 512, fol. 70v.